Le podcast l'Empreinte fête son 100ème épisode

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Le podcast l'Empreinte fête son 100ème épisode

Le podcast l'Empreinte, spécialiste des sujets RSE, a sorti son centième épisode avec Yann Arthus-Bertrand dans lequel il dépeint sa vision de l'avenir. Animé par Alice Vachet et produit par Bababam, l'Empreinte a pour volonté de démocratiser la RSE.

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Le centième épisode du podcast l'Empreinte donne la parole à Yann Arthus-Bertrand, répondant aux questions d'Alice Vachet, pilote du podcast créée il y a maintenant deux ans. La vocation de ce podcast d'une vingtaine de minutes par épisode est de démocratiser les sujets RSE et de donner la parole à tout un chacun, dans une vision positive et sereine pour aborder les questions que l'on se pose tous. Comment telle marque, ou grand groupe développe sa politique RSE, quels sont les freins persistants à ce développement, quelles solutions sont mises en place ? À travers ce podcast, Alice Vachet met en confiance ses invités pour aborder un échange transparent et de bon sens pour inspirer son audience.

L'Empreinte comme boîte à outils de la RSE

Compilant près d'un million d'écoutes, l'Empreinte, édité par Bababam, veut, par son format audio, permettre aux sujets RSE de dépasser le coeur de cible des personnes travaillant dans ce secteur. " L'audio est un média d'éducation, d'informations, très peu polluant et utilisant peu de bande passante ", explique Nadia Leroy, associée chez Bababam. La genèse du podcast vient d'un désir de compréhension sur l'avancée, ou non, d'entreprises et de grands groupes sur les sujets RSE.

Pour Alice Vachet : " L'Empreinte c'est vraiment une discussion, des rebonds avec un côté spontané qui permet de démocratiser encore plus le sujet RSE. C'est un échange naturel, sans piège. Nous ne somme pas là pour dénoncer, ce sont des questions de curiosité et de bon sens ". L'idée est réellement de montrer la prise de conscience et les efforts effectuées, ou encore à faire, pour les invités et leurs entités. " Nous savons que nous allons pouvoir aborder les questions de manière sereine. Je veux humaniser les invités que je reçois, savoir quels sont leur petits gestes, leurs actions personnelles ", ajoute l'animatrice du podcast, qui cherche à inspirer au fil des épisodes produits.

Redonner confiance

Par ce regard constructif et positif, l'Empreinte permet de casser la polarisation entre les gentils et les méchants, ceux qui font et ceux qui ne font pas. " Notre but c'est d'aller à la rencontre de nos invités pour comprendre les pas qu'ils font et comprendre pourquoi ils n'arrivent pas à en faire certains ", détaille Nadia Leroy. C'est pourquoi leur choix d'invités se tourne souvent vers les dirigeants et les directeurs RSE, pour avoir cette liberté de parole recherchée.

" Nous essayons d'être assez équilibré entre les grands groupes ou les starts-up. Nous voulons une liberté de discours tout en mettant en place une discussion autour de ces changements et de cette transformation que l'on subi tous. Axer sur ce qui est possible et sur les freins existants, parce que si c'était si simple, ce serait déjà fait ", ajoute l'associée chez Bababam.

En humanisant et en redonnant confiance, l'Empreinte favorise le dialogue et permet une compréhension des enjeux à différents niveaux, et pour Nadia Leroy, " c'est cette compréhension qui intéresse les gens ".

 
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