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JouéClub vise à étendre son offre de reprise de jouets d'occasion

Publié par Philippe Lesaffre le - mis à jour à

Susan Holt Simpson

Souvent, les vêtements, les objets et les jouets encore en bon état mais inutilisés dorment dans nos placards. Certaines marques proposent de les reprendre pour les revendre.

Les plateformes d'e-commerce et les enseignes ont de plus en plus l'intention de favoriser une économie plus circulaire. Objectif, quelque part : limiter (au moins, un peu) la pression exercée sur les ressources naturelles, de par la surexploitation, à l'oeuvre. Certaines marques, désormais, proposent un service de reprise et de revente des produits des particuliers. Au final pour les inciter à ne pas jeter ce qui ne sert plus mais qui est encore en bon état, pour les uns, et de ne pas miser systématiquement sur du neuf, pour les autres.

Premier exemple, celui de Petit Bateau qui continue d'inviter les citoyens à ramener les vêtements des enfants trop petits pour les remettre en service si cela est possible, tant en ligne que dans les boutiques. Une opération valorisée dans une campagne réalisée par l'agence Rébellion.


Le club des jouets d'occasion

Fin mars, JouéClub a, de son côté, annoncé avoir décidé de généraliser son service « troc O'Joué », visant à faciliter la reprise de nombreux jouets - propres et en bon état - issus de n'importe quelle enseigne. Après des expérimentations, l'initiative va être déployée sur l'ensemble des magasins d'ici 2024. L'enseigne, en échange, indique qu'un bon d'achat valable un an sera rendu aux particuliers. Et que les biens d'occasion seront garantis deux ans. Chaque boutique aura un espace dédié afin que les visiteurs distinguent bien le neuf du produit de seconde main, précise au passage JouéClub.